Pourquoi et comment utiliser Facebook pour son entreprise ?

Facebook a été fondé en 2004 par Mark Zuckerberg et quelques camarades. Il y a 2,8 milliards d’utilisateurs, ce qui fait de ce réseau social le plus important du monde. Inutile de te rappeler que ta cible s’y trouve forcément, au moins en partie. 

Lors de la fondation de ce réseau social, il était réservé aux étudiants d’Harvard, où étaient inscrits les créateurs. Puis, en 2006, Facebook est devenu accessible à tous.

Au niveau de sa fréquentation, on y trouve en 2021 25% de 18-24 ans, 32% de 25-34 ans, et 26% de 35-54 ans. La tranche d’âge qui s’y rend est donc large

Sur le réseau social de Mark Zuckerberg, il est possible de partager de simples textes, des photos, des vidéos, des stories temporaires, des vidéos en direct, ou encore de faire des « salons ». 

D’après Facebook, 160 millions d’entreprises sont présentes sur le réseau social, dont 80 millions de PME. Que ce soit pour du B2B ou du B2C, Facebook est très populaire en tant qu’outil marketing. C’est donc le moment de s’y implanter, si ce n’est pas déjà le cas !

Maintenant que nous avons rappelé le concept de Facebook, nous allons te donner nos conseils, pour utiliser de manière pertinente ce réseau social si prometteur pour ton entreprise.

Facebook est très utile pour les entreprises. Ce réseau social a des codes qu’il faut maitriser. Si tu as besoin d’une stratégie de contenu, ou de Community management, n’hésite pas à prendre rendez-vous avec nous pour en discuter !

Pourquoi et comment utiliser Linkedin pour votre entreprise ?

Linkedin est LE réseau social professionnel par excellence. Il compte aujourd’hui 738 millions de membres dans le monde, dont 20 millions en France. Ce réseau social a été fondé en 2002, et lancé en 2003, par Reid Hoffman (un homme d’affaires), Allen Blue, et trois autres entrepreneurs. Le principe est de pouvoir entrer en contact avec des professionnels de notre secteur ou pas, pour collaborer ou simplement échanger. Sur Linkedin, on partage donc un contenu moins personnel.

Alors, on peut s’y rendre pour trouver un emploi, une alternance, un stage, des employeurs, des prestataires, ou pour contacter des prospects. En bref, pour tout ce qui concerne la vie professionnelle

C’est une certitude : pour se développer au niveau professionnel, il est devenu indispensable d’avoir un profil Linkedin.
Au niveau des publications, on peut y poster des simples textes, des photos, des PDF, des vidéos, ou encore des carrousels, depuis peu. Il est aussi possible de réagir aux publications des autres avec divers emojis (pouce, applaudissements, coeur….), de commenter bien sûr, et de partager

Sur Linkedin, on trouve un fonctionnement spécifique, au niveau des connexions avec les autres membres. Les relations peuvent être de 1er niveau : tu es connecté avec cette personne. Sur d’autres réseaux sociaux, on dirait que vous êtes « amis ». Tu as envoyé ou accepté une invitation. Dans le cas où la relation est de 2ème niveau, il s’agit de personnes connectées à tes relations de premier niveau. Si tu préfères, tu as une relation en commun avec cette personne. Enfin, le 3ème niveau désigne des profils connectés à tes relations de 2ème niveau. C’est celles avec qui tu as le moins de lien direct. Ces différents niveaux sont à titre informatif: tu peux envoyer une invitation à n’importe qui !

Il est possible, sur Linkedin, de rejoindre des groupes. Par exemple, il existe des groupes tels que « Job in Paris », pour rassembler offres et personnes en recherche d’emplois. On regroupe des personnes aux intérêts communs, ou de la même ville, du même secteur, dans la même situation… Encore une fois, ces groupes permettent d’agrandir son réseau, et d’échanger avec ses pairs, mais aussi d’en dévoiler plus sur nous, de se positionner sur Linkedin. Grâce à ces groupes, tu peux aussi faire des veilles de ton marché. Pour y entrer, l’acceptation de ta demande d’adhésion suffit. 

Ps : Linkedin est aussi un très bon moyen de garder à l’oeil tes concurrents… 

Nous avons évidemment quelques conseils pour toi et ta page Linkedin :

Alors, prêt à te lancer ? Si tu as besoin de conseils pour t’implanter sur ce réseau, d’un Community manager pour t’épauler, ou d’une élaboration de stratégie marketing, n’hésite pas à nous contacter, pour que l'on puisse en discuter ensemble. 

Pourquoi et comment utiliser Instagram pour son entreprise ?

Instagram est désormais un réseau social très populaire. De plus, le contexte de crise sanitaire a favorisé l’usage des réseaux sociaux: en 2021, la plateforme compte 1,22 milliards d’utilisateurs actifs. En France, pratiquement la moitié de la population utilise ce réseau social ! Impressionnant, non ?  

Si il y a autant d’utilisateurs sur Instagram, une partie de votre audience s’y trouve forcément.

Avant toute chose, revenons brièvement sur l’histoire de ce réseau social. Instagram n’a été lancé qu’en 2010, par Kevin Systrom (entrepreneur et développeur) et Michel Mike Krieger (entrepreneur et ingénieur en informatique).  Dès sa sortie, l’application connait un succès immédiat : elle comptabilise 25 000 téléchargements en une seule journée. 2 mois après sa sortie, on comptabilise pas moins d’1 million d’utilisateurs ! Le concept de partage de photographies a donc beaucoup plu au public. Facebook a par la suite, en 2012, racheté Instagram. 

Pour ta culture personnelle, voici le premier logo de ce réseau social : 

Rappelons très rapidement le concept de ce réseau social : les utilisateurs y postent photos et vidéos, sous forme de « stories »  temporaires (24h) ou de posts permanents. Il y a également quelques outils, comme « Boomerang », « Layout », ou une multitude de filtres, pour animer et personnaliser photos et vidéos. Plus récemment, Instagram a sorti deux nouvelles fonctionnalités : les reels, et shop. Les réels sont de courtes vidéos, semblables à celles que l’on trouve sur Tiktok. Sur Shop, on retrouve une sorte d’e-commerce. En moyenne, un utilisateur y passe 53 minutes par jour, ce qui est conséquent. On y trouve alors de plus en plus d’annonces, de publicités, de partenariats avec des « influenceurs », et de comptes de marques: 75% des entreprises américaines utilisent Instagram en 2020, et 80% des « instagrammers » ont déclaré que le réseau social les aidait à décider de l’achat d’un produit ou d’un service

Vous l’aurez compris, c’est le moment de s’implanter sur Instagram si votre entreprise n’y est pas encore.  

Mais alors, comment agir sur Instagram ?

Ce réseau social permet d’interagir de manière directe avec ta communauté. Cela te permet de créer du lien, et une véritable relation de confiance. Instagram a le meilleur taux d’engagement de tous les réseaux sociaux, tu auras donc l’occasion d’échanger avec ta cible, et de mesurer l’impact de tes publications, grâce aux likes et aux commentaires.

Nous avons donc quelques conseils pour toi :

Instagram est donc très utile pour les entreprises. Néanmoins, ce réseau social a des codes qu’il faut maitriser. Si tu as besoin d’établir une stratégie insta, n’hésite pas à prendre rendez-vous avec nous pour en discuter !

POURQUOI LE STORYTELLING EST-IL UTILE EN COMMUNICATION ?

Le storytelling se traduit par la narration, l’art de raconter des histoires. 

Depuis tout petit, on aime tous les histoires, que ce soit sous forme de livre, de film ou de série. De plus, le cerveau enregistre les histoires 22 fois plus vite que de simples faits. Alors, pourquoi ne pas utiliser la narration en communication ?

92% des consommateurs préfèrent que les marques fassent en sorte que la publicité ressemble à des histoires : on retient mieux une aventure qu’un simple discours commercial, aussi bon soit-il. Les consommateurs sont de moins en moins sensibles à la publicité, il faut donc trouver de nouvelles options pour y parvenir.

Mais alors, quelle histoire raconter ? 

Il est possible d’utiliser le storytelling pour décrire qui on estce que l’on fait, et pourquoi on le fait.

Alors, il est intéressant de jouer sur des faits ou anecdotes marquants sur l’entreprise et sa création, pour faire passer les messagesvaleurs et engagements d’une entreprise. L’histoire doit être en parfait accord avec l’identité de la marque.

On créé tout un univers autour de la marque. Mais attention, on peut enjoliver, mais jamais mentir : la sincérité est primordiale pour établir un lien de confiance.

Le storytelling joue sur la sphère de l’émotion : la joie, la colère, la tristesse ou la peur. Le discours de la marque devient immédiatement plus humain. D’après une étude du New York Times, les articles émotionnels sont les plus partagés. Il faut savoir aussi que les décisions d’achat sont plus influencées par les émotions, que par la logique.

De plus, faire rêver un consommateur permet de créer un lien fort avec lui, et de créer une relation plus significative. Sur le long terme, le storytelling permet de fidéliser les consommateurs, grâce à une identification naturelle à la marque.

Vous l’aurez donc compris, les consommateurs sont très sensibles au storytelling. Ils privilégient lauthenticité, et sont menés par leurs émotions. Créer des images dans l’esprit du consommateur permet de gagner leur attention, puis leur affection

Concrètement, comment utiliser le storytelling ?

Nombreux sont les supports où il est possible de s’en servir : les films, la bande dessinée, les écrits… À chaque prise de parole de la marque, il faudra utiliser ce storytelling, pour créer une certaine continuité, et un attachement à l’histoire.

La mise en scène est très importante : le lieu doit être bien choisi, le contexte doit être posé, et les protagonistes doivent avoir une personnalité bien définie.

Quatre éléments sont importants pour avoir un storytelling réussi : le but de ton entreprise, ses valeurs, sa mission, et sa vision pour l’avenir.

Mais alors concrètement, que doit-il se passer dans l’histoire ?

C’est la méthode why, how, what: il doit y avoir une cause, des moyens et enfin, une solution. Les protagonistes doivent faire face à un ou plusieurs événements compliqués, avant de finir sur une « happy end »

Pour faire du storytelling, il faut évidemment connaître très bien la cible, pour savoir quel type d’histoire raconter, dans quel contexte, et avec quelle tonalité.

Il est possible de suivre la réussite du storytelling via des données quantitatives, sur les réseaux sociaux par exemple.

Si tu as besoin de définir une stratégie de communication, de créer une identité de marque ou de réfléchir à un storytelling, Piko Piko est là pour toi !!

LA CARTE DE VISITE, UN OUTIL DE COMMUNICATION INDISPENSABLE

Dans un monde très digitalisé, on pourrait penser que les outils traditionnels comme les cartes de visite n’ont plus leur utilité. Pourtant, ils ne sont pas à négliger, au contraire ! La carte de visite est un outil très précieux, avec beaucoup de potentiel, malgré sa petite taille.

C’est un incontournable pour votre entreprise !

La carte de visite permet une prise de contact avec votre entreprise et votre image de marque.

C’est un support physique, qui offre la possibilité d’étendre son réseau et de marquer les esprits. La carte de visite, en opposition à l’e-mail ou aux appels, puisqu’elle est échangée en face à face, a un côté plus personnel.

De plus, étant donné que vous la donnez lors d’un échange, il y a plus de chance que votre interlocuteur se rappelle de votre rencontre, et pense à vous lorsqu’il aura besoin d’un service ou d’un produit que vous proposez.

Mais alors, quels sont les objectifs ?

Tout d’abord, vous faire connaître. Lors d’événements, de salons professionnels, ou simplement dans la vie de tous les jours, elle permet facilement de donner son contact et de présenter son activité. On y trouve l’essentiel des informations sur votre entreprise, ce qui permet une rapide compréhension de ce que vous proposez. 

Évidemment, elle permet d’étendre son réseau. Une fois la carte donnée, il suffit d’ouvrir son portefeuille pour pouvoir vous contacter lorsque l’on en a besoin.

De plus, cet interlocuteur pourra faire partager vos coordonnées à son entourage, étant donné qu’il garde l’objet.

Que contient-elle ?

Sur une carte de visite, on retrouve souvent ces informations : le logo de l’entreprise, l’identité, l’intitulé du poste, le numéro de téléphonel’emaill’adresse géographique, le site web et les réseaux sociaux. Un grand nombre d’entreprises opte aujourd’hui pour un QR code sur la carte de visite, pour rediriger plus facilement les lecteurs.

On retrouve souvent les mêmes informations sur ce petit objet. 

Alors comment se différencier de la concurrence ?

Par les couleurs ! En effet, selon votre charte graphique, la carte de visite sera personnalisée pour votre marque.

La police joue un rôle important sur ce petit objet. 

Il est également possible de choisir un matériau spécifique, ou de choisir des dimensions spéciales pour se démarquer.

Il est important de demander conseil à des professionnels (comme nous ;)) pour réaliser une carte de visite, au vu de son utilité !

Si tu as besoin de faire ou de refaire vos cartes de visite, Piko Piko est là pour toi !

LES OBJECTIFS D’UNE CAMPAGNE DE COMMUNICATION

Lorsque l’on créé une entreprise, l’objectif est bien-sûr de devenir rentable.

Ok, jusque-là, on vous apprend rien.

Vous savez aussi que lorsque l’on communique à notre cible, le but est d’augmenter les ventes, et par conséquent, le chiffre d’affaires. C’est un objectif quantitatif, monétaire.

Cependant, il y a également des objectifs qualitatifs, qui sont tout aussi importants lorsque l’on investit dans une campagne de communication.

Avez-vous déjà entendu parler du modèle AIDA ? (Pour une fois, c’est du français)

Cela signifie AttentionIntérêtDésir et Action. Et c’est tout ce que l’on veut attirer ou provoquer chez les consommateurs, pas vrai ?

Ce modèle est très souvent utilisé par les annonceurs ainsi que les agences de communication.

Alors, pour n’importe quel projet, il faut garder ces quatre mots en tête.

Il faut également se dire que peu importe la campagne, on cherche toujours à convaincre quelqu’un de faire quelque chose, ou d’adopter une certaine attitude

Néanmoins, il existe trois objectifs distincts. Avant de se lancer, il convient de réfléchir au but de la campagne de communication, et de hiérarchiser les objectifs, par ordre d’importance.

Pour commencer, il y a l’objectif cognitif. Il s’agit d’agir sur la notoriété de la marque. On cherche à agir sur les connaissances des agents économiques : on veut faire connaître l’entreprise ou le produit, ses caractéristiques et performances. On veut établir un premier contact, attirer l’attention. C’est le premier objectif auquel il faut penser lors de la création d’une marque ou d’un produit.

Le deuxième objectif est affectif. Cette fois, on veut agir sur les attitudes des agents économiques, les faire apprécier notre marque, notre service ou notre produit. Le but est de créer du lien, pour changer la perception des consommateurs et leur attitude vis-à-vis de nous.

Une fois que la marque est connue des consommateurs, il est important de communiquer sur les valeurs de l’entreprise, sur ses engagements, ses actions.

Après un scandale également, une communication avec un objectif affectif est indispensable si l’annonceur veut séduire à nouveau ses clients perdus.

L’objectif n’est plus d’acquérir de nouveaux consommateurs, mais de les fidéliser, pour qu’ils soient clients sur du long terme.

Enfin, le dernier objectif, et pas des moindres, est le conatif. Cette fois, on cherche à agir sur les comportements des consommateurs, ou veut qu’ils agissent (ou non s’il s’agit d’une campagne de prévention par exemple). Le but est tout simplement de les faire passer à l’action, par une campagne persuasive.

Évidemment, il est intéressant de cumuler ces trois objectifs, qui restent toujours importants pour une marque. En laisser un de côté serait perdre des potentiels clients. Simplement, il faut les hiérarchiser pour se concentrer sur celui qui convient le plus à notre entreprise et à sa situation. 

Il est possible d’adapter ces objectifs au social media marketing, propres au monde du digital. Nous pouvons avoir pour but d’augmenter le trafic d’un site web ou de réseaux, d’améliorer l’e-reputation, et d’augmenter le taux de conversion.

Maintenant, les objectifs de communication n’ont plus de secret pour vous !

Si vous vous êtes reconnus dans un de ces besoins, Piko Piko vous accompagne pour vos campagnes publicitaires, pour la création de votre site Internet, ou encore pour du Community Management !

LE LOGO, UNE ARME VISUELLE PUISSANTE, À NE PAS NÉGLIGER

En 1988, un article du New York Times révélait que nous, consommateurs, étions exposés à 5000 messages publicitaires par jour. D’après Arnaud Pêtre, spécialiste du neuromarketing, nous serions plus près des 15 000 marques par jour et par personne : c’est fou non ?

Mais alors, dans cette masse d’informations, comment se démarquer et séduire prospects et clients ?

Dans les outils pouvant différencier n’importe quelle marque d’une autre, nous trouvons le logo, une arme visuelle fondamentale.

Découvrons ensemble le logotype.

Ce mot vient du grec « logos », qui signifie « discours, parole ».

Par définition, le logotype est un symbole formé d’un ensemble de signes graphiques, servant à identifier visuellement une marque, un produit, une association, un service… En quelques sortes, c’est un porte-parole de votre entreprise, qui doit résumer ce qu’elle est, et porter ses valeurs. Il doit être en cohérence avec l’image de marque, et s’inscrire dans la politique de communication.

Nous savons tous que le logo est très important lorsque l’on crée une marque. En effet, il apparaît partout : sur vos réseaux sociaux, sur vos affiches, sur vos produits, sur votre site Internet... Il faut donc bien le choisir, puisqu’il a plusieurs fonctions.

Cette arme visuelle a d’abord une fonction informative, représentative : il doit illustrer plus ou moins ce que propose la marque, de manière explicite ou plus symbolique. Ensuite, il a une fonction référentielle : nous devons pouvoir rattacher le logo à l’annonceur auquel il correspond. Pour finir, le logo a une fonction ciblée et originale : il doit être adapté à votre cible, et de manière unique.

Pour qu’un logo soit efficace, il faut qu’il puisse passer toutes ces étapes : tout d’abord, la perception. Il faut qu’il se distingue des autres, qu’on le remarque. Ensuite, la compréhension : il faut qu’il soit clair, et simple, pour être compris en un coup d’œil. Après cela, il y a la phase de mémorisation, afin que les consommateurs s’en souviennent. Enfin, il y a l’attribution : le logo est vu, compris, mémorisé, mais aussi attribué et associé à une marque.

Maintenant, nous savons à quel point le logo est important.

Mais alors, qu’est-ce qu’un bon logo ?

Tout d’abord, il doit être lisible, de près comme de loin. Un bon logo est original. Il est aussi cohérent par rapport à l’esthétique de la marque. Il faut aussi qu’il ait une certaine richesse sémantique et émotionnelle : quel est son sens ? qu’évoque-t-il chez le consommateur ?

Au niveau technique à présent, il faut qu’un logo soit adaptable à tout support et tout format, qu’il puisse être utilisé en couleurs ou en noir et blanc.

Enfin, nous estimons qu’un logo dure environ 10 à 15 ans. Il faut donc prendre cet aspect en compte lors de la conception de celui-ci, qui doit être durable. 

Il y a un nombre incalculable de logos, pourtant ils sont tous différents. En effet, il en existe plusieurs types.

Nous pouvons tout d’abord citer les pictogrammes. Ils sont une représentation très simplifiée, compréhensible par tous, tout autour du globe. On les comprend rapidement, mais ils ne sont pas très originaux. Dans la même catégorie, il y a les symboles universels : ces pictogrammes sont plus stylisés, mais toujours connus de tous. On en retrouve notamment dans le code de la route ou dans les services publics.

Pour se distinguer, on peut alors opter pour un symbole particulier : il est spécifique à une marque, et fait référence à son activité. 

Nous pouvons citer comme exemple Nike, ou Shell par exemple.

Ensuite, nous trouvons le lettrage : le logo est uniquement typographique. C’est le cas de Chanel, de Calvin Klein ou de Sony par exemple. La typo utilisée est peu reconnaissable, et elle peut être utilisée par d’autres annonceurs.

Pour avoir une typographie unique, il faut opter pour le lettrage déformé : la typologie est personnalisée, et la marque est la seule à l’utiliser. C’est le cas de la NASA, de Disney, ou encore d’Yves-Saint-Laurent. D’ailleurs, rien qu’en lisant les noms de ses marques, nous avons leur typologie en tête.

Enfin, si le choix est trop complexe, nous pouvons opter pour une combinaison. C’est l’option la plus utilisée aujourd’hui : on retrouve de la typographie et du graphisme. Le logo devient alors unique, avec un différent niveau de lecture. Il est plus créatif, plus original, et donc, plus facilement mémorisable.

Nous avons vu les différents types de logo, nous allons donc à présent voir les limites de celui-ci : Quand faut-il le changer ?

Parfois, au fil du temps, la signification d’un logotype devient trop banale, et obsolète. Elle n’est plus originale, et n’apporte plus rien au projet.
Dans d’autres cas, le logo connote des associations inopportunes, qui n’existaient pas lors de sa création, et auxquelles la marque ne veut surtout pas s’associer.

Enfin, le logotype peut tout simplement ne plus refléter l’entreprise et ses projets.

Il peut aussi être changé pour d’autres raisons, comme un changement économique, esthétique, ou stratégique (après un scandale par exemple).

Votre logo évoluera donc dans le temps, pour s’adapter à des changements internes, ou à l’environnement, et donc aux tendances actuelles.

Voici par exemple l’évolution du logo IKEA :

Pas de panique !  Il n’est jamais donc trop tard pour changer ou trouver son logo, même si votre marque est créée depuis quelques temps. Piko Piko peut vous accompagner dans sa création, pour qu’il représente au mieux votre entreprise. Vous pouvez d’ailleurs retrouver nos offres sur notre site.

Avoir un bon logo est donc indispensable, pour séduire puis fidéliser la clientèle, pour valoriser l’image de la société, et lui donner une identité propre.

Inbound et Content Marketing : les stratégies pour les réseaux sociaux

En marketing, beaucoup de termes proviennent de l’anglais et sont parfois difficilement compréhensibles lorsque l’on n’est pas initié. Parmi tous ces anglicismes, l’inbound marketing et le content marketing : souvent incompris, confondus et très mal définis.

Voici donc la différence entre l’Inbound Marketing et le Content Marketing.

Le content marketing

Le content marketing est en réalité plutôt simple à comprendre. Il s’agît de la création de contenu ainsi que sa diffusion, notamment sur les réseaux sociaux et ton site, qui apporte une réelle valeur à ton audience cible. Cela correspond par exemple à la publication d’articles de blog, de podcasts, de stories et de publications sur les réseaux sociaux, une newsletter, etc.

Lorsque l’on fait du content marketing, on ne parle pas forcément de ton produit ! En effet, on publie du contenu pertinent et connexe à ton activité pour tes potentiels clients : cela va créer une relation de confiance et d’expertise entre vous. Le but est en quelque sorte de créer ton propre canal de diffusion pour intéresser tes prospects : s’il est intéressé, le visiteur s’abonnera (à tes réseaux sociaux ou à ta newsletter par exemple) et sera à l’affût de tes prochaines publications car elles ont le potentiel pour l’intéresser. Si tu as une page Facebook ou Instagram par exemple, cela signifie alors que tu as déjà ton canal, et que tu fais déjà du content marketing sans le savoir.

chat qui monte son média sur facebook

Dans le cas où tu préfères uniquement vanter les mérites de ton produit, tu n’apporteras pas de valeur au visiteur : il verra alors ta page comme un vulgaire panneau publicitaire et l’oubliera très rapidement… En revanche, sans tomber dans les extrêmes, cette stratégie doit être un moyen de rediriger tes clients sur une page d’achat (site web) ou sur une prise de rendez-vous par exemple (un moyen de le faire consommer). On appelle cela le Call-To-Action (CTA).

L’inbound marketing

L’inbound marketing (attirer le client vers nous) est lui plus général et s’oppose à l’outbound marketing (aller chercher le client en le démarchant). On raconte souvent que cette stratégie est le moyen de faire venir des visiteurs en tout passivité, gratuitement et facilement.

Mais attention, ceci est faux ! Produire du contenu de qualité et avec assiduité n’est pas aussi facile, passif et encore moins gratuit. Il va donc falloir te démener.

retourne au travail !

Concrètement, l’inbound marketing correspond à l’ensemble des techniques pour attirer un utilisateur jusqu’à le pousser à l’achat. Le but sera de constamment améliorer ce système pour qu’il soit plus facilement répétable pour les autres visiteurs. Parmi toutes les techniques de ce système, nous avons le content marketing parmi d’autres comme les relations presse, l’optimisation du SEO de ton site web (On a fait un article à ce propos justement), le suivi par email, etc.

Etablir une stratégie inbound avec une stratégie de contenu

Lorsque tu souhaites communiquer sur le web, tu dois réfléchir à une stratégie inbound complète, c’est-à-dire réfléchir à tes réseaux sociaux et ton site sans oublier les autres canaux d’acquisition et de rétention de l’audience comme la newsletter par exemple. Ta stratégie inbound doit correspondre à l’ensemble du parcours utilisateur de ton prospect, du premier contact avec ton activité, jusqu’à l’achat de ton produit ou service.

La création de contenu à forte valeur ajoutée, le content marketing donc, devra être organisé en suivant ce que l’on appelle des piliers de contenu. Il s’agira de strictement définir les sujets que tu souhaites aborder et t’assurer qu’ils soient cohérents avec ton activité (s’ils ne parlent pas directement de ton produit). Attention, en plus d’être en lien direct ou non avec ton organisation, le contenu publié doit aussi intéresser directement tes potentiels clients, il faut donc bien connaître son audience cible avant de planifier une quelconque stratégie.

interessant
La tête que ton visiteur doit faire sur ton profil 😂

A retenir

Le content marketing et l’inbound marketing sont deux termes différents qu’il faut éviter de confondre.

L’inbound marketing correspond à la stratégie globale que tu dois développer sur tous les canaux pour pouvoir amener le maximum de prospects vers ton site internet par exemple. Ceci englobe la création d’une newsletter, d’articles de blog, un suivi e-mail de tes clients, un podcast, et ta stratégie sur les réseaux sociaux.

Sur les réseaux sociaux uniquement, on parlera alors de content marketing. Cela correspond aux thèmes prédéfinis que tu souhaites aborder pour intéresser tes futurs clients. De cette manière, tu peux aussi créer une relation de confiance avec eux en partageant ton expertise dans ton domaine d’activité.

En revanche, la plus grosse erreur que tu puisses faire serait de lancer une stratégie inbound si tu n’as pas encore trouvé ton Product/Market Fit (On t’explique tout sur le Product/Market Fit ici).

Il est nécessaire de ne pas prendre le sujet de ta stratégie de communication digitale à la légère. Dans le cas où tu ne te sentirais pas d’y réfléchir seul, PIKO PIKO peut t’aider à t’accompagner dans cette épreuve importante dans la vie d’une organisation. Dans ce cas, tu peux alors prendre rendez-vous pour qu’on puisse en discuter ensemble.

À très bientôt.

SEO : Le guide pour débutants

Surtout quand on est entrepreneur, on entend le terme SEO partout. On nous transmet des bonnes pratiques, des astuces, des techniques pour pouvoir au mieux optimiser notre site web. Mais avec tous ces conseils, on se retrouve facilement perdu, surtout si on n’y connait pas grand-chose en informatique...

Voici donc, le guide d’introduction au SEO, vulgarisé pour les débutants !

C’est quoi le SEO ?

Le SEO (Search Engine Optimization) correspond à l’art (que l’on divisera en 3 catégories pour simplifier) de positionner son site web sur les différents moteurs de recherche. On optimise donc son site afin d’augmenter le nombre de potentiels clients qui peuvent arriver de manière naturelle : ils effectuent une certaine recherche dans Google, et notre site leur a été proposé car il semblait, selon Google, être le meilleur pour répondre à leur demande.

Attention, on parlera uniquement de Google aujourd’hui car il concentre 94% des recherches sur Internet dans le monde, mais le principe restera le même pour Bing, Qwant, etc.

94% de recherches effectuées sur google graphique
Pourcentages de recherches effectuées par navigateur

Quelle méthodologie à suivre pour booster mon SEO ?

Tout d’abord, il faut que tu établisses la liste des mots-clés qui t’intéressent selon ton activité. Une fois que cela est fait, il faut garder en tête que tu vas donner toute ton énergie pour travailler les pages de ton site qui vont afficher le mot-clé le plus important de ta liste. En effet, il sera difficile, et sûrement trop chronophage de se disperser sur plusieurs mots-clés, surtout s’ils n’ont aucun rapport entre eux. Il vaut mieux commencer d’abord avec 1 seul mot-clé pour se faire la main.

Les 3 catégories de SEO : une manière de ne pas se perdre

Il existe grosso modo 3 catégories de SEO pour booster une de tes pages de ton site sur un mot-clé précis. Ce sont les 3 critères les plus importants aux yeux du robot de Google. Les voici.

- La catégorie « technique »

Si tu n’es pas codeur, celle-ci sera la plus difficile à appréhender. Cette catégorie correspond à la manière dont ta page est construite. Google va se poser ces questions-là : Est-ce que la page utilise une mise en page cohérente (H1, H2, H3, ul, li, ...) ? Des side maps ? Des balises ALT ? Des liens externes ? Un titre en rapport avec le mot-clé ? etc. La liste est en effet très longue.

Lors de la création de ton site, il te faudra donc faire très attention à ce que ton site soit bien réalisé techniquement. En effet, le robot de Google qui va regarder ton site verra seulement des lignes de code, et non le site visible de tous. De plus, il va vérifier si tes titres, sous-titres, listes, sont cohérents avec la demande de celui qui tape une recherche : il faut donc que tu gardes cette précieuse information en tête lorsque tu écris un article de blog par exemple.

- La catégorie « contenu »

Celle-ci est déjà plus simple. Il s’agit du contenu de ta page en elle-même. Le robot regarde d’abord si tu n’as pas copié sur un autre site déjà existant : il n’aime pas la triche ! Il se posera ensuite des questions du type : est-ce que le contenu est de qualité ? Il y a-t-il des images ? Du contenu animé ? Est-ce que le contenu est lisible ? Est-ce que du nouveau contenu est publié régulièrement ? etc.

Cette partie est reliée à l’expérience générale de l’utilisateur. Google va principalement vérifier si le contenu peut être agréable à lire pour l’utilisateur, en plus de trouver la réponse à sa requête. Cette partie est tout aussi importante que les deux autres, car c’est celle qui va donner l’information à Google que tu as l’information que l’utilisateur recherche : ne néglige jamais le contenu !

personne qui écrit en réfléchissant

- La catégorie « externe »

Cette partie est difficilement optimisable sur le court terme. En effet, pour cette catégorie, Google regardera l’ancienneté de ton site (âge du domaine), si ton site a bonne réputation et si tu as une présence sur les réseaux sociaux au même nom par exemple ! En effet, avoir des pages qui ont un lien direct vers ton site donne plus de crédit à ta page aux yeux de Google. Dans cette catégorie, il sera aussi vérifié si des pages avec une grosse réputation (exemple : LeMonde fait un article sur toi et publie un lien vers ton site) parlent de toi, cela te donnera beaucoup plus de chances d’être mieux répertorié (d’où l’intérêt d’avoir des liens depuis Facebook, Instagram, LinkedIn, etc.)

Pour résumer, si tu devais seulement retenir une seule affirmation issue de ces 3 techniques, ce serait : Google s’attarde principalement sur l’expérience utilisateur de ta page, c’est-à-dire la satisfaction générale de l’utilisateur. Il faut donc tout donner pour que ton site soit agréable et propre en termes de codage et de contenu, tout en obtenant l’approbation d’autres sites avec une plus vieille/grande réputation.

Mais alors, je peux être premier sur Google maintenant ?

Alors, oui tu le peux, mais cela sera compliqué et prendra du temps et des ressources. Être bien référencé est une longue épreuve, où l’on observe des résultats minimes après seulement plusieurs mois de travail. Être premier sur Google sur 1 mot-clé est possible, mais il faudra beaucoup travailler pour passer devant des sites avec une énorme réputation (ceux qui sont toujours premier).

Par exemple, nous chez PIKO PIKO, si tu tapes le mot-clé « shooting produit » sur Google, tu seras surpris de voir apparaître notre site en 1er résultat ; je te laisse essayer ! Donc ne perds pas espoir, c’est possible.

champion

Il ne faut pas croire tout ce que l’on entend sur le SEO, surtout quand c’est une « méthode miracle » pour être rapidement en haut des résultats Google ; faites attention c’est peut-être une arnaque. Si tu sens que tu as encore besoin d’informations sur le SEO, prends rendez-vous avec nous pour plus de renseignements, et de conseils pratiques pour booster ta page.

Si cet article vous a intéressé, n’hésitez pas à le partager autour de vous, et à nous dire si vous souhaitez d’autres articles pour aller plus en profondeur sur la thématique du SEO !

A très bientôt.

L’équipe PIKO PIKO.

Le Product/Market Fit : la base de votre croissance

Avant de devenir le premier réflexe lorsque l’on part en voyage, AirBnB a longtemps été une entreprise qui ne fonctionnait pas, et qui n’arrivait pas à se démarquer de la concurrence. L’entreprise ne proposait en effet rien de spécial par rapport à ses concurrents directs : ils n’avaient aucun élément de différenciation. Après une période creuse de 38 mois, AirBnB est subitement devenu la nouvelle coqueluche de la Silicon Valley avec aujourd’hui un site comprenant 1.5 million d’annonces dans 34 000 villes dans 192 pays dans le monde.

airbnb logo

Quel a alors été ce déclic ?

Après un long travail sur son offre, AirBnB avait enfin trouvé son Product/Market Fit.

Le Product/Market Fit désigne le fait qu’un produit ou un service, ait réussi à trouver son audience idéale. C’est-à-dire que, lorsqu’une audience rencontre un problème : l’offre est alors la solution adéquate pour le résoudre. Il devient alors le « Product » qui « Fit » avec le bon « Market ».

Et attention, cela change tout pour toi ! Si tu es dans la phase pré ou post Product/Market Fit, ta stratégie à adopter est complètement différente, et tous les conseils que tu entends sur le marketing et la communication sur internet peuvent être inadaptés à ta situation.

Comment savoir si j’ai atteint un Product/Market Fit ?

Il y a 3 critères, et donc 3 questions à se poser pour savoir si ton offre est en phase de pré ou post Product/Market Fit.

 ExplicationQuestion à se poser
Critère 1 : CompréhensionTon audience doit comprendre les valeurs et le message de ton offre. Le tout doit être simple et intelligible.Est-ce que ma cible comprend ce que je fais ?
Critère 2 : ConversionC’est l’achat. Il faut alors sentir un engouement et un intérêt pour le produit. Tu dois aussi comparer si ton taux de conversion n’est pas plus faible que tes concurrents sur le même secteur.Est-ce que ma cible achète ce que je propose ?
Critère 3 : RecommandationTes clients recommandent le produit, c’est le bouche-à-oreille. Est-ce que ma cible parle de mon produit / service ?

Si vous pouvez répondre « Oui » sans hésiter aux 3 questions, vous avez alors trouvé votre Product/Market Fit : vous pouvez alors vous lancer dans une grande stratégie marketing. Sinon, vous devez encore retravailler votre offre. (en savoir plus)

encouragement

Trouver son Product/Market Fit grâce aux enseignements d'AirBnB

AirBnB a mis 38 mois avant de trouver son Product/Market Fit, 38 mois pour trouver son message "Permettre à tous de sentir chez soi, partout dans le monde". L’entreprise américaine n’a en effet pas toujours eu ce crédo, et l’a obtenu grâce aux avis de ses utilisateurs qu’elle a sollicité au maximum à propos de ce qu’ils attendaient réellement de son offre.

Lors de sa phase de pré Product/Market Fit, AirBnB s’est concentré à amener du trafic sur son site, pour avoir un maximum d’utilisateurs à interroger pour améliorer son offre, son message et ses valeurs. Ceci a finalement donné le message, l’identité et l’offre que l’on connaît tous aujourd’hui.

airbnb valeurs
Le message et les valeurs définitives de AirBnB

Voici donc la méthode que tu dois suivre si tu n’as pas encore trouvé ton Product/Market Fit.

  1. Fournir un flux constant de prospects ou d’utilisateurs vers ton offre.
  2. Obtenir des avis constructifs de ton audience cible.
  3. Travailler ton offre et ton message selon les retours des utilisateurs.
  4. Recommencer jusqu’à répondre « Oui » aux questions du tableau.

Attention : demander des avis sur notre produit à notre famille et amis est contre-productif. En effet, s’ils ne font pas partie de notre audience cible, ils risqueront de t’orienter dans la mauvaise direction : ils te feront donc perdre du temps ! Seul l’avis de ton audience cible compte.

flèche qui rate

A retenir

Savoir si l’on a trouvé son Product/Market Fit est indispensable avant de lancer une stratégie marketing à très grande échelle. Tu as donc tout intérêt à savoir si tu es post ou pré Product/Market Fit grâce aux 3 critères vus précédemment (compréhension, taux de conversion, recommandation). Si tu te rends compte que tu ne réponds pas aux 3 questions par un « Oui » franc, tu devra alors travailler ton produit. Inspire-toi de l’enseignement d’AirBnB et utilise les 4 étapes expliquées plus haut pour trouver ton Product/Market Fit.

Tu as encore des questions sur le Product/Market Fit ? Prends rendez-vous pour des explications sur mesure. Si tu penses être phase de pré Product/Market Fit, concentre-toi sur la redirection de ta cible vers ton produit.

Sur notre site, différentes offres pour développer une stratégie sur internet sont à retrouver.

N’oublie pas que l’accompagnement de PIKO PIKO évolue avec votre projet : si tu trouves ton Product/Market Fit, nous te proposons des services adaptés afin de te lancer dans la grande stratégie marketing dont tout le monde parle sur internet !